Opération DIOMEDE 2025 : Création de ZRT et ZDT pour les FBZ

L’opération DIOMEDE 2025 arrive bientôt, et avec elle, des changements importants dans notre espace aérien. On va voir comment on met en place de nouvelles zones, les ZRT et ZDT, pour que tout se passe bien. C’est un peu comme organiser une grande fête, il faut délimiter les espaces pour que chacun sache où aller et ce qu’il peut faire. L’objectif est de rendre les choses plus claires pour tout le monde, que ce soit pour les vols militaires, les drones ou même les activités de loisir. On va aussi parler des FBZ, ces zones tampons qui aident à gérer les plans de vol. C’est un peu technique, mais ça vise surtout à améliorer la sécurité et l’organisation.

• L’opération DIOMEDE 2025 entraîne la mise en place de Zones Réglementées Temporaires (ZRT) et de Zones Dangereuses Temporaires (ZDT) pour une meilleure gestion de l’espace aérien.

• Ces nouvelles zones sont créées pour encadrer diverses activités, allant des exercices de défense aux vols de drones, en passant par des manifestations aériennes.

• Les Zones Tampons (FBZ) jouent un rôle important dans la fluidification du dépôt des plans de vol, en offrant des espaces dédiés pour cette démarche.

• La procédure AIRAC est appliquée pour la diffusion des informations relatives à ces zones, garantissant que tous les acteurs disposent des données à jour.

• Les vols IFR et VFR sont impactés par ces créations de zones, nécessitant une adaptation des trajectoires et des procédures de vol pour respecter les nouvelles délimitations.

L’opération DIOMEDE 2025, c’est une initiative d’envergure qui va pas mal secouer le ciel français pendant quelques mois. En gros, on parle de mettre en place des zones spéciales, des ZRT et des ZDT, pour encadrer des activités aériennes bien précises. Ça va impacter la façon dont on vole, que l’on soit pilote d’avion, d’hélico, ou même d’un drone. L’idée générale, c’est de garantir la sécurité tout en permettant des manœuvres qui sortent de l’ordinaire.

L’objectif principal de DIOMEDE 2025 est de créer un cadre sécurisé pour des activités aériennes spécifiques, qui pourraient présenter des risques si elles n’étaient pas correctement gérées. On pense notamment à des exercices militaires, des essais d’aéronefs, ou encore des démonstrations aériennes. La portée de cette opération est assez large, touchant différentes régions du territoire français et concernant à la fois les vols à vue (VFR) et les vols aux instruments (IFR). Il s’agit vraiment de baliser le ciel pour que tout se passe bien.

Concrètement, la mise en place de ces zones va demander une adaptation de la part de tous les acteurs de la navigation aérienne. Les pilotes devront être particulièrement attentifs aux NOTAMs et aux AIP qui annonceront la création et les limites de ces zones. Les contrôleurs aériens, eux, auront la tâche de gérer les flux de trafic autour de ces zones, en déroutant ou en espaçant les vols si nécessaire. C’est un travail de coordination important pour que la sécurité soit maintenue sans pour autant paralyser complètement le trafic aérien.

La réussite de DIOMEDE 2025 repose sur une information claire et une anticipation des besoins de chaque type de vol.

Voici quelques points clés à retenir :

• Définition claire des zones : Chaque ZRT et ZDT aura des limites précises et des périodes de validité bien définies.

• Communication : Les informations seront diffusées via les canaux officiels (AIP, NOTAMs).

• Adaptation des plans de vol : Les pilotes devront intégrer ces zones dans leur planification.

• Coordination : Un travail de fond entre les différents services de contrôle et les organisateurs des activités sera nécessaire.

L’Opération DIOMEDE 2025 implique la création de plusieurs Zones Réglementées Temporaires (ZRT). Ces zones sont mises en place pour des raisons bien précises, souvent liées à des activités spécifiques qui nécessitent une gestion particulière de l’espace aérien. Il ne s’agit pas juste de fermer un bout de ciel, mais de créer un cadre sécurisé pour des opérations qui, autrement, seraient trop risquées.

Pour DIOMEDE 2025, plusieurs ZRT seront actives. Elles sont conçues pour encadrer les mouvements des aéronefs participant à l’opération, qu’il s’agisse d’avions, d’hélicoptères ou de drones. L’objectif est de garantir que ces vols se déroulent sans interférence avec le trafic aérien civil habituel. On peut penser à des zones dédiées aux phases de déploiement, aux exercices tactiques ou aux phases de récupération.

• Définition des périmètres et altitudes : Chaque ZRT aura des limites géographiques et verticales clairement définies.

• Durée de validité : Les périodes d’activation seront communiquées via les NOTAMs et les publications aéronautiques.

• Conditions d’accès : L’accès sera restreint aux aéronefs autorisés et participant directement à l’opération.

La mise en place de ces ZRT est une étape clé pour assurer la fluidité et la sécurité des activités prévues dans le cadre de DIOMEDE 2025. C’est un peu comme réserver une voie sur l’autoroute pour un convoi spécial.

Au-delà des besoins directs de l’opération, certaines ZRT pourraient être créées à titre expérimental. Cela permet de tester de nouvelles procédures ou de valider des concepts avant une application plus large. On pense par exemple à des zones pour des vols de drones longue portée ou des essais de nouveaux systèmes de communication. Ces zones sont souvent plus petites et de durée limitée, mais elles sont importantes pour l’innovation dans le domaine aéronautique. Par exemple, des expérimentations pour des vols hors vue d’aéronefs sans équipage ont déjà eu lieu dans la baie de Seine et le Cotentin, créant des ZRT spécifiques pour ces activités 048/2025.

Une partie significative des ZRT créées dans le cadre de DIOMEDE 2025 sera dédiée aux activités de défense et à l’utilisation de drones. Cela inclut des zones pour des entraînements militaires, des démonstrations de capacités ou des vols de drones de surveillance. Ces zones peuvent être assez étendues et actives sur de longues périodes, comme le montrent les créations de nombreuses ZRT pour le transit et les évolutions de drones d’État en moyenne et haute altitude 091/2024.

• Entraînements militaires : Zones dédiées aux manœuvres et exercices des forces armées.

• Opérations de drones : Espaces sécurisés pour le vol d’aéronefs sans pilote, y compris pour des missions de reconnaissance ou de surveillance.

• Tests de matériel : Zones potentiellement utilisées pour tester de nouveaux équipements ou technologies aéronautiques.

Passons maintenant aux Zones Dangereuses Temporaires, ou ZDT. C’est un peu le pendant des ZRT, mais avec une notion de danger plus marquée. Pour l’opération DIOMEDE 2025, on va voir apparaître des ZDT spécifiques qui encadrent des activités potentiellement risquées.

Ces zones sont créées pour des raisons précises liées à l’opération. Par exemple, on peut avoir des ZDT pour des essais d’aéronefs ou des activités qui demandent une zone de sécurité plus large. L’objectif est de prévenir tout incident en tenant à l’écart les autres trafics aériens. C’est un peu comme mettre des cônes de signalisation autour d’un chantier, mais dans le ciel. On a vu des exemples récents, comme la création de zones dangereuses temporaires en haute altitude pour des activités spécifiques, couvrant des zones comme la Manche ou l’Atlantique. Ces ZDT sont souvent définies pour des périodes assez longues, parfois plus d’un an, ce qui montre leur importance pour les opérations prévues.

Dans cette catégorie, on retrouve des zones créées pour des tests de nouveaux équipements, des vols de démonstration, ou des manœuvres qui sortent de l’ordinaire. Pensez à des vols à très haute vitesse, des évolutions complexes, ou l’utilisation de matériel qui pourrait présenter un risque. Ces ZDT sont souvent très ciblées géographiquement et temporellement. Par exemple, une ZDT peut être mise en place pour une journée spécifique afin de tester un nouveau système de propulsion sur un drone d’État. Il faut bien suivre les NOTAMs pour savoir où et quand ces zones sont actives.

Certaines opérations, comme celles impliquant des drones d’État ou des vols à très haute altitude, nécessitent la mise en place de ZDT qui s’étendent sur de grandes verticales. Ces zones peuvent être associées à des zones tampons, les fameuses FBZ, pour garantir une sécurité maximale. On a vu des créations de ZDT couvrant des espaces aériens importants, parfois sur plusieurs années, pour des transits d’aéronefs sans pilote. C’est le cas par exemple de zones temporaires créées pour des drones d’État dans le sud de la France, qui sont valides pour une longue période. La gestion de ces zones demande une coordination rigoureuse entre les différents acteurs du contrôle aérien et les opérateurs des drones. C’est un peu comme organiser un grand événement, il faut que tout le monde soit sur la même longueur d’onde pour que ça se passe bien. Pour plus de détails sur la réglementation aérienne, vous pouvez consulter les informations sur AIRAC.

Voici un aperçu des types de ZDT que l’on peut rencontrer :

• Essais de systèmes d’armes : Zones dédiées aux tests de matériel militaire.

• Vols expérimentaux : Pour tester de nouvelles technologies aéronautiques.

• Activités de défense : Zones utilisées pour des exercices militaires spécifiques.

• Zones de parachutage : Parfois, des ZDT peuvent encadrer des zones de parachutage pour des raisons de sécurité, notamment si les sauts sont effectués en dehors des ZRT classiques.

La mise en place de ZDT est une mesure de sécurité proactive. Elle vise à prévenir les conflits potentiels entre les activités réglementées et le trafic aérien général, en fournissant une information claire et précise sur les zones et les périodes concernées.

Quand on parle de l’opération DIOMEDE 2025, il est impossible de passer à côté des Zones Tampons, ou FBZ (FPL Buffer Zone). En gros, ce sont des zones qui sont mises en place pour aider à gérer les plans de vol, surtout quand il y a des ZRT ou des ZDT actives. Ça aide à éviter les soucis et à garder l’espace aérien bien organisé.

Les FBZ jouent un rôle assez important. Elles servent de zone de sécurité autour des zones réglementées ou dangereuses temporaires. L’idée, c’est de donner un peu plus de marge aux pilotes pour qu’ils puissent ajuster leur trajectoire ou leur plan de vol sans empiéter sur les zones actives. C’est une mesure de sécurité supplémentaire pour tout le monde. Elles sont souvent créées en même temps que les ZRT et ZDT, et leur validité correspond généralement à celle des zones qu’elles protègent.

La mise en place de ces zones se fait via des procédures AIRAC, comme pour la plupart des changements dans l’espace aérien. Par exemple, on a vu des FBZ créées pour des exercices militaires comme VOLFA 2025, ou pour des opérations spécifiques comme DIOMEDE 2025 elle-même. Ces zones peuvent varier en taille et en altitude, selon les besoins de l’opération en cours.

Voici quelques exemples de leur mise en œuvre :

• FBZ pour LF-D 120 A : Une zone tampon a été mise en place pour une zone dangereuse temporaire, valide jusqu’à fin 2025.

• FBZ pour ZENA PERIGORD : Plusieurs zones tampons ont été créées pour des ZRT en moyenne et haute altitude, avec une validité s’étendant sur une bonne partie de 2026.

• FBZ pour DGA EM : Une zone tampon a été mise en œuvre pour des zones associées à la DGA EM, valide jusqu’en janvier 2026.

Il est vraiment essentiel de bien comprendre le rôle de ces zones tampons. Elles ne sont pas là pour embêter les pilotes, mais bien pour assurer la sécurité et la fluidité des opérations aériennes, surtout lors d’événements majeurs comme DIOMEDE 2025.

Pour les pilotes, la présence de FBZ signifie qu’il faut être encore plus attentif lors du dépôt des plans de vol. Il faut s’assurer que le trajet prévu ne traverse pas ces zones, ou qu’il respecte les conditions d’entrée si elles sont permises. Les systèmes de gestion de plans de vol doivent prendre en compte ces zones pour éviter les conflits. En gros, ça demande une planification un peu plus poussée, mais c’est pour le mieux.

Quand on parle de zones réglementées ou dangereuses temporaires, surtout dans le cadre d’opérations comme DIOMEDE 2025, il y a toute une histoire de règles et de publications à respecter. C’est pas juste « on ferme cette zone et voilà ». Tout ça doit passer par une procédure bien précise qu’on appelle AIRAC. C’est un peu le calendrier officiel de l’aviation, qui fait que les changements importants sont annoncés bien à l’avance pour que tout le monde soit au courant.

L’application des procédures AIRAC est fondamentale pour la mise en place de ces zones. Ça veut dire que chaque nouvelle ZRT ou ZDT doit être notifiée et publiée selon un cycle régulier. Si on rate une étape, ça peut causer des soucis, voire annuler la création de la zone. C’est un peu comme préparer un gros repas : il faut suivre la recette et les temps de cuisson, sinon le plat est raté.

Les périodes de validité des zones sont aussi super importantes. Elles sont définies dans la publication AIRAC et précisent exactement quand la zone est active et quand elle ne l’est plus. Ça peut être quelques jours, quelques semaines, ou même plus longtemps, selon le besoin. Par exemple, une opération ponctuelle comme une démonstration aérienne aura une zone active pour une durée limitée, tandis que des essais plus longs pour des drones pourraient avoir une zone valide sur plusieurs mois.

Voici un aperçu des types de zones et de leur durée de validité, basé sur des exemples récents :

• ZRT pour activités de défense et drones : Souvent sur des périodes de plusieurs mois à plus d’un an, pour permettre des entraînements réguliers.

• ZRT expérimentales : La durée varie beaucoup, de quelques mois à plus d’un an, le temps de tester de nouvelles configurations ou technologies.

• ZRT pour événements spécifiques (parachutisme, manifestations) : Généralement plus courtes, quelques jours ou semaines, le temps de l’événement.

L’impact sur les vols IFR (vol aux instruments) et VFR (vol à vue) est direct. Les pilotes IFR doivent suivre les instructions du contrôle aérien pour contourner ces zones, tandis que les pilotes VFR doivent en être conscients et les éviter. Les NOTAM (Avis aux Navigateurs Aériens) sont aussi utilisés pour communiquer ces informations en temps réel, en complément des publications AIRAC.

Il faut bien comprendre que la création de ces zones n’est pas une décision prise à la légère. Elle suit un processus réglementaire strict pour garantir la sécurité de tous les usagers de l’espace aérien. Le respect des délais et des procédures de publication est donc primordial.

Pour bien comprendre comment ces zones sont mises en place, regardons quelques exemples concrets qui ont été publiés. Ça aide à visualiser ce que ça implique pour nous, les pilotes.

Parfois, il y a des événements comme des meetings aériens ou des démonstrations. Pour ces occasions, des zones spéciales sont créées. Par exemple, on a vu des ZRT mises en place pour des activités de parachutisme ou des vols hors-vue. Ces zones sont souvent définies pour une durée limitée, le temps de l’événement, et peuvent concerner des zones au sol ou dans l’espace aérien.

L’organisation d’activités de parachutisme ou de vols de drones nécessite souvent la création de Zones Réglementées Temporaires (ZRT). Ces zones sont là pour assurer la sécurité des participants et des autres usagers de l’espace aérien. Elles peuvent être assez étendues et actives pendant plusieurs mois, comme on a pu le voir avec des créations de ZRT pour des vols de drones d’État dans le sud de la France ou le long de la côte Atlantique.

Les forces armées utilisent aussi ces dispositifs pour leurs entraînements. On trouve des ZRT et ZDT créées spécifiquement pour des exercices militaires, parfois à titre expérimental. Ces zones peuvent être actives pendant de longues périodes, parfois plus d’un an, et sont souvent situées dans des régions où les activités aériennes civiles sont moins denses. Par exemple, une ZRT expérimentale a été mise en place dans la région de Chenevières pour des entraînements militaires.

Voici un aperçu de quelques types de zones créées récemment :

• ZRT pour vols de drones d’État : Création de nombreuses zones pour le transit et les évolutions de drones, parfois en moyenne et haute altitude.

• ZRT pour activités vélivoles : Des zones spécifiques peuvent être établies pour des activités de vol à voile, comme celles vues dans la région de Rouen.

• ZRT pour essais d’aéronefs : Des zones sont créées pour des tests d’aéronefs, par exemple des essais d’aéronefs électriques près de Toulouse.

La mise en place de ces zones, qu’elles soient réglementées ou dangereuses, suit toujours un processus précis via les NOTAM et les publications aéronautiques. Il est important de consulter ces informations avant chaque vol pour connaître les restrictions et les conditions d’utilisation de l’espace aérien.

Voilà, on a fait le tour de ce qui se passe pour l’opération DIOMEDE 2025. On a vu qu’il y a pas mal de changements prévus dans l’espace aérien, avec la création de zones temporaires, les ZRT et ZDT. Ça touche pas mal de monde, que ce soit pour des exercices militaires, des tests de drones ou même des événements comme des meetings aériens. Les dates de validité varient, donc il faut vraiment rester attentif aux NOTAMs et aux mises à jour. C’est un peu comme jongler avec plusieurs balles, il faut garder un œil sur tout pour que ça se passe bien. On espère que tout se déroulera sans encombre pour les pilotes et les organisateurs.

L’opération DIOMEDE 2025 est un grand projet qui vise à améliorer la sécurité et l’efficacité du trafic aérien. Pour cela, de nouvelles zones spéciales sont créées dans le ciel.

Les ZRT sont des Zones Réglementées Temporaires. Imagine un périmètre dans le ciel où certaines règles de vol sont appliquées pendant une période donnée, par exemple pour des exercices militaires ou des événements spéciaux.

Les ZDT, ou Zones Dangereuses Temporaires, sont un peu comme les ZRT, mais elles sont créées là où il peut y avoir des dangers pour les avions, comme des essais d’équipement ou des vols de drones.

Les FBZ, ou Zones Tampons, servent à protéger les zones d’opération comme les ZRT et ZDT. Elles aident à s’assurer que les plans de vol des autres avions sont bien préparés pour éviter tout problème.

Oui, les règles de l’aviation civile, souvent annoncées par l’AIRAC, sont utilisées pour informer tout le monde des changements. Cela concerne les vols avec instruments (IFR) et les vols à vue (VFR).

Source : SUP AIP 142/2025