Le ciel de la Bretagne et de la région de Bordeaux sera un peu plus animé prochainement. Une expérimentation va mettre en place 7 Zones Réglementées Temporaires (ZRT) pour des activités de défense. Ces zones, définies par le SUP AIP 165/2025, seront actives sur une période allant du 15 mai 2025 au 30 avril 2026. L’objectif est de tester ces nouvelles configurations d’espace aérien pour des besoins spécifiques de l’armée.
Points Clés
- Mise en place de 7 Zones Réglementées Temporaires (ZRT) expérimentales dans les régions de Brest et Bordeaux.
- Les ZRT seront actives du 15 mai 2025 au 30 avril 2026, suite à la publication du SUP AIP 165/2025.
- Ces zones sont destinées à des activités spécifiques de défense, incluant entraînement aéronaval et missions opérationnelles.
- Elles couvriront des activités comme les tirs de petits calibres et les vols d’aéronefs sans équipage au service de l’État.
- Des restrictions de transit côtier sont prévues, avec des zones d’exclusion autour d’Ouessant et Belle-Ile sous certaines conditions.
1. Création de 7 Zones Réglementées Temporaires (ZRT)

Le ciel breton est particulièrement animé ces temps-ci avec la mise en place de sept Zones Réglementées Temporaires (ZRT). C’est une mesure expérimentale qui va durer un bon moment, jusqu’à fin avril 2026. Ces zones, qui encerclent la pointe ouest de la Bretagne, sont divisées en deux niveaux : une partie basse de la surface au sol jusqu’à 2 500 pieds, et une partie plus haute, de 2 500 pieds jusqu’au niveau de vol 95 (FL095).
L’objectif principal est de permettre des activités de défense spécifiques. Concrètement, cela signifie que ces zones peuvent être activées à tout moment, avec un préavis de deux jours via Notam. Les activités concernées sont variées :
- Entraînement aéronaval
- Missions opérationnelles
- Tirs de petits calibres (moins de 12,7 mm)
- Vols d’aéronefs sans équipage pour le compte de l’État
Pour ceux qui transitent le long des côtes, le couloir utilisable risque d’être assez étroit quand ces ZRT sont actives. Des exceptions sont prévues pour des sites comme Ouessant et Belle-Île, avec des zones basses (SFC/2.500 ft AMSL) qui permettent de tourner autour, mais sans possibilité d’y accéder si la ZRT principale est en service. C’est une organisation qui demande une attention particulière pour tous les usagers de l’espace aérien dans cette région.
2. Exercice Krakken
Du 9 au 23 mai, la Bretagne sera le théâtre de l’exercice Krakken. Cet événement militaire va entraîner la mise en place de zones réglementées temporaires (ZRT) spécifiques pour des activités de défense. Au programme, on retrouvera des parachutages et de la dérive sous voile. Ces manœuvres nécessitent une organisation particulière de l’espace aérien, d’où la création de ces ZRT. Il est important pour les pilotes de rester informés des NOTAMs qui seront diffusés pour connaître les zones exactes et les périodes d’activation.
L’exercice Krakken s’inscrit dans une série d’activités qui vont marquer le ciel breton. Ces zones temporaires, qui peuvent être activées à tout moment, couvrent une partie significative de la pointe ouest de la région. Elles sont divisées en deux couches : une première allant du sol jusqu’à 2500 pieds, et une seconde de 2500 pieds jusqu’au niveau de vol 95.
La gestion de ces zones temporaires est un aspect important pour la sécurité aérienne, surtout lors d’exercices militaires. Il faut s’assurer que toutes les activités aériennes civiles soient bien coordonnées ou déroutées pour éviter tout incident.
Les activités prévues incluent :
- Parachutages
- Dérive sous voile
- Entraînement aéronaval
- Missions opérationnelles
Il est conseillé de consulter régulièrement les informations aéronautiques, notamment les SUP-AIP, pour avoir les détails précis sur les zones concernées et les dates d’activation. Les pilotes qui survolent la région de Brest durant cette période devront être particulièrement vigilants. Les élèves de collège ont déjà visité Brest dans le cadre de leur préparation à un examen d’histoire [7f5b].
3. Exercice Polaris HA25
L’exercice Polaris HA25, prévu du 2 au 15 juin, a nécessité la mise en place de zones réglementées temporaires (ZRT). Ces zones ont été établies suite à la publication du SUP-AIP 041/25. L’objectif principal était de permettre des activités de défense spécifiques dans le cadre de cet entraînement aéronaval. Les ZRT créées pour l’occasion couvraient une partie de la Bretagne, avec des altitudes allant du niveau du sol (SFC) jusqu’à 2.500 pieds AMSL, et une seconde partie s’étendant de 2.500 pieds AMSL au FL095. Ces zones pouvaient être activées à tout moment, avec un préavis de deux jours via NOTAM. L’exercice visait à tester des scénarios opérationnels et des entraînements variés.
L’organisation de tels exercices est essentielle pour maintenir la préparation des forces armées et tester de nouvelles procédures dans des conditions réalistes.
Les activités autorisées dans ces ZRT comprenaient l’entraînement aéronaval, des missions opérationnelles, des tirs de petits calibres (inférieurs à 12,7 mm) et des vols d’aéronefs sans équipage au service de l’État. Pour le transit côtier, un couloir spécifique a été défini, mais il restait assez étroit. Des zones comme Ouessant et Belle-Île bénéficiaient d’une exclusion de SFC à 2.500 pieds AMSL, mais leur accès était impossible si la ZRT correspondante était active. C’était une période d’activité aérienne intense et réglementée dans le secteur.
4. FIR Brest et Bordeaux
Le ciel français, particulièrement dans les régions de Brest et Bordeaux, a vu l’apparition de sept nouvelles Zones Réglementées Temporaires (ZRT) pour une période expérimentale allant du 15 mai 2025 au 30 avril 2026. Ces zones, qui cernent une bonne partie de la pointe ouest de la Bretagne, sont divisées en deux niveaux : une partie basse de la surface jusqu’à 2 500 pieds et une partie haute de 2 500 pieds au niveau de vol 095. Elles peuvent être activées à tout moment, avec un préavis de deux jours via Notam, pour des activités de défense spécifiques.
Ces activités comprennent l’entraînement aéronaval, les missions opérationnelles, les tirs de petits calibres (moins de 12,7 mm) et les vols d’aéronefs sans équipage au service de l’État. Pour ceux qui transitent le long des côtes, le couloir utilisable se rétrécit considérablement lorsque ces ZRT sont actives. Des zones spécifiques autour d’Ouessant et de Belle-Île sont prévues, avec une exclusion de la surface à 2 500 pieds, mais leur accès reste impossible si la ZRT est activée. C’est une mesure qui impacte directement la planification des vols dans ces secteurs, demandant une vigilance accrue de la part des pilotes. Il est toujours bon de se tenir informé des dernières mises à jour concernant les zones aériennes, par exemple en consultant les actualités des drones.
La mise en place de ces ZRT temporaires vise à encadrer des opérations aériennes sensibles, tout en cherchant à minimiser les perturbations pour le trafic civil. L’expérimentation sur une période prolongée permettra d’évaluer l’efficacité de ces mesures et d’ajuster si nécessaire les procédures futures.
Voici un aperçu des types d’activités qui peuvent justifier la création de telles zones :
- Entraînement aéronaval
- Missions opérationnelles diverses
- Tirs d’armes légères
- Vols de drones pour le compte de l’État
Il est important de noter que la gestion de ces zones s’inscrit dans le cadre plus large des responsabilités des FIR (Flight Information Region) de Brest et Bordeaux, qui couvrent une vaste portion de l’espace aérien Atlantique.
5. Activités Spécifiques Défense
Ces nouvelles zones réglementées temporaires (ZRT) ont été mises en place pour des raisons bien précises liées à la défense nationale. Elles couvrent une large partie de la pointe ouest de la Bretagne, s’étendant de la côte sud à la côte nord. Ces zones sont divisées en deux niveaux : une partie basse allant du sol jusqu’à 2.500 pieds au-dessus du niveau moyen de la mer, et une partie haute allant de 2.500 pieds jusqu’au niveau de vol 095.
L’activation de ces ZRT peut se faire à tout moment, 24h/24, et est annoncée deux jours à l’avance par NOTAM. Les activités qui justifient leur création sont variées et comprennent :
- L’entraînement aéronaval.
- Les missions opérationnelles.
- Les tirs de petits calibres, spécifiquement ceux inférieurs à 12,7 mm.
- Les vols d’aéronefs sans équipage (drones) effectués au service de l’État.
Il est important de noter que même en transit côtier, le couloir de passage autorisé peut devenir très étroit lorsque ces zones sont actives. Les îles comme Ouessant et Belle-Île bénéficient d’une exclusion de ces zones entre le sol et 2.500 pieds, mais l’accès reste impossible si la ZRT concernée est activée. Ces mesures visent à garantir la sécurité et la discrétion des opérations militaires, tout en minimisant l’impact sur le trafic aérien civil autant que possible. Pour plus de détails sur les restrictions et les zones concernées, il est conseillé de consulter les informations aéronautiques à jour.
6. Entraînement Aéronaval
L’entraînement aéronaval, c’est un peu le cœur battant de la préparation de nos forces navales. Ça se passe souvent dans des zones dédiées, comme celles qu’on a vues se créer récemment autour de Brest et Bordeaux. Ces zones réglementées temporaires (ZRT) permettent de simuler des conditions réelles, sans trop déranger le trafic aérien civil habituel.
On parle ici d’activités qui demandent une coordination parfaite entre les aéronefs et les navires. C’est un peu comme une chorégraphie complexe dans le ciel et sur la mer. Les pilotes s’entraînent à des manœuvres spécifiques, à la communication avec les bases et les navires, et à la gestion de l’espace aérien dans des contextes variés. C’est vraiment essentiel pour maintenir un haut niveau de compétence.
L’objectif est de reproduire au plus près les scénarios opérationnels, en intégrant les aspects tactiques et techniques propres à la marine.
Voici quelques points clés de cet entraînement :
- Manœuvres de précision : Les équipages s’exercent à des vols à basse altitude et à des approches complexes.
- Coordination interarmées : Il s’agit de synchroniser les actions des aéronefs avec celles des unités navales présentes.
- Gestion des communications : Tester et améliorer les protocoles de communication dans des environnements potentiellement perturbés.
- Adaptation aux conditions : S’entraîner dans diverses conditions météorologiques et de visibilité.
Ces exercices sont vitaux pour la préparation de la marine, et des institutions comme l’École Navale à Brest jouent un rôle important dans la formation des futurs marins qui participeront à ces opérations.
7. Missions Opérationnelles
Les missions opérationnelles dans le cadre de ces ZRT spécifiques défense sont variées et touchent à des aspects critiques de la sécurité et de la souveraineté nationales. Il ne s’agit pas juste de zones temporaires, mais de théâtres d’activités où des opérations réelles sont menées.
Ces activités peuvent inclure :
- Des exercices de grande ampleur impliquant plusieurs branches des forces armées.
- Des entraînements ciblés pour des unités spécialisées.
- Des démonstrations de capacités technologiques dans des environnements contrôlés.
- Des missions de surveillance et de reconnaissance.
L’objectif principal est de maintenir un haut niveau de préparation et de réactivité des forces. Cela implique souvent des scénarios complexes qui simulent des situations de crise ou de conflit. Les zones réglementées temporairement permettent de garantir la sécurité de l’espace aérien autour de ces opérations, protégeant ainsi à la fois les participants et les populations civiles.
La coordination entre les différentes entités militaires et les autorités de contrôle aérien est primordiale pour le bon déroulement de ces missions. Chaque phase, de la planification à l’exécution, est minutieusement étudiée pour minimiser les risques et maximiser l’efficacité.
Ces opérations sont un élément clé pour tester et valider de nouvelles doctrines ou équipements, assurant ainsi que les forces armées restent à la pointe de leurs capacités. L’ensemble de ces activités contribue à la défense du territoire et à la projection de la puissance nationale. Vous pouvez retrouver des détails sur certaines de ces activités dans le cadre des activités de défense.
Il est important de noter que ces missions peuvent varier considérablement en termes de durée et d’intensité, allant de courtes sessions d’entraînement à des déploiements plus longs et complexes. La flexibilité dans la mise en place des ZRT est donc essentielle pour s’adapter aux besoins spécifiques de chaque opération.
8. Tirs Petits Calibres
Dans le cadre de ces expérimentations, des zones spécifiques ont été définies pour des tirs de petits calibres. Ces zones, souvent temporaires, sont mises en place pour garantir la sécurité des vols et des personnes au sol lors des exercices de tir.
Il est important de noter que ces zones sont généralement de courte durée et leur activation est communiquée via les NOTAMs (Notice to Airmen) et les publications aéronautiques officielles. Les pilotes doivent impérativement consulter ces informations avant chaque vol.
Voici quelques points clés concernant ces zones de tir :
- Délimitation précise : Les zones sont clairement définies par des coordonnées géographiques et des altitudes spécifiques.
- Durée limitée : Elles sont actives uniquement pendant les périodes de tir.
- Signalisation : Des procédures spécifiques peuvent être mises en place pour signaler l’activité, comme des balisages au sol ou des communications radio dédiées.
- Respect des consignes : Le non-respect de ces zones peut avoir des conséquences graves.
L’instauration de ces zones réglementées temporaires est une mesure de sécurité indispensable pour permettre la conduite d’activités militaires tout en maintenant un niveau de sécurité acceptable pour l’aviation civile. La coordination et la communication sont donc primordiales.
9. Vols au Service de l'État d'Aéronefs Sans Équipage
Dans le cadre de ces expérimentations, l’utilisation d’aéronefs sans équipage (drones) pour des missions au service de l’État prend une importance particulière. Ces appareils sont de plus en plus employés pour des tâches variées, allant de la surveillance de zones sensibles à l’appui logistique ou à la collecte d’informations. Leur déploiement nécessite une planification rigoureuse et une coordination étroite avec les autorités de gestion de l’espace aérien, notamment pour éviter toute interférence avec les zones réglementées temporaires (ZRT) mises en place.
Leur capacité à opérer dans des environnements complexes et à transmettre des données en temps réel en fait des outils précieux pour les forces de défense. Il est essentiel que les opérateurs de ces drones soient pleinement conscients des réglementations en vigueur, y compris les nouvelles dispositions relatives aux ZRT. Une bonne compréhension des limites et des procédures à suivre est primordiale pour garantir la sécurité des vols et l’efficacité des missions.
Voici quelques points clés concernant ces vols :
- Types de missions : Reconnaissance, surveillance, cartographie, évaluation de dégâts, soutien aux opérations terrestres.
- Réglementation : Respect des zones réglementées (ZRT, ZIT), utilisation de transpondeurs si applicable, respect des altitudes et des trajectoires autorisées.
- Coordination : Communication avec les centres de contrôle aérien et les autorités militaires pour l’obtention des autorisations de vol.
- Sécurité : Vérification de l’état de l’aéronef, respect des conditions météorologiques, procédures d’urgence.
L’intégration de ces technologies soulève également des questions sur la gestion de l’espace aérien et la nécessité d’adapter les règles de circulation aérienne pour accueillir ces nouveaux acteurs. Les expérimentations menées dans les régions de Brest et Bordeaux permettront d’affiner ces procédures.
10. Transit Côtier
Avec la mise en place de ces nouvelles Zones Réglementées Temporaires (ZRT) le long de la côte bretonne, le transit côtier pour les aéronefs devient un peu plus… disons, sportif. En gros, le couloir utilisable pour circuler le long du littoral s’est considérablement rétréci. Il faut vraiment faire attention où l’on met les ailes, si je puis dire.
Les zones s’étendent du niveau du sol (SFC) jusqu’à 2.500 pieds d’altitude, et pour certaines, ça monte jusqu’au FL095. C’est assez bas pour les activités défense prévues, comme l’entraînement aéronaval ou les missions opérationnelles. Et pour les tirs de petits calibres, ça limite aussi pas mal.
Il est important de noter que des îles comme Ouessant et Belle-Île ont des exclusions spécifiques, permettant de tourner en rond sous les 2.500 pieds. Cependant, si une ZRT est active dans le coin, même ces zones deviennent inaccessibles. Autant dire qu’il faut bien vérifier les NOTAMs avant de décoller.
Pour ceux qui volent dans le cadre de l’expérimentation des nouvelles réglementations sur les drones en Bretagne, qui a débuté le 15 mai 2025, il y a aussi des points à surveiller. Les pilotes de drones peuvent maintenant voler jusqu’à 1850 mètres du littoral sans autorisation préalable, mais attention, de nouvelles zones R17 ont été créées le long de la côte. Il faut vraiment consulter les informations aéronautiques à jour avant chaque vol, comme celles disponibles sur les portails d’information aéronautique.
En résumé, pour le transit côtier, il faut être particulièrement vigilant. Les restrictions sont là pour des raisons de sécurité liées aux activités militaires, et il vaut mieux les respecter à la lettre pour éviter tout problème.
En Bref : Ce Qu'il Faut Retenir
Voilà, on a fait le tour de ces nouvelles zones réglementées temporaires. C’est pas rien, surtout pour ceux qui volent dans le coin de Brest et Bordeaux. Ça montre bien que l’espace aérien est en constante évolution, et pas toujours pour nous simplifier la vie, soyons honnêtes. Il faudra rester bien attentifs aux NOTAMs et aux mises à jour des cartes. On espère que ces expérimentations, même si elles nous compliquent un peu la tâche, serviront à quelque chose de concret pour la défense. En attendant, gardez un œil sur le ciel et surtout, volez prudemment !
Questions Fréquemment Posées
Qu'est-ce qu'une ZRT et pourquoi en crée-t-on ?
Une ZRT, c’est une Zone Réglementée Temporaire. On en crée pour des raisons spéciales, comme des exercices militaires ou des entraînements. C’est un peu comme si on réservait un espace dans le ciel pour une activité particulière, pour que tout se passe en sécurité.
Où se trouvent ces nouvelles ZRT ?
Ces nouvelles zones sont principalement situées tout à l’ouest de la Bretagne. Elles encerclent une grande partie de la côte, allant du sud au nord. C’est une zone assez étendue qui est concernée par ces réglementations temporaires.
Quelles activités sont prévues dans ces zones ?
Dans ces ZRT, il y aura des entraînements pour les avions de la marine, des entraînements pour des missions importantes, des tirs avec des armes légères (pas très grosses) et des vols d’appareils sans pilote pour le compte de l’État. C’est assez varié.
Quelle est la période de validité de ces ZRT ?
Ces zones spéciales sont mises en place pour une période d’expérimentation. Elles seront actives du 15 mai 2025 jusqu’au 30 avril 2026. C’est une longue période pour tester ces nouvelles règles.
Y a-t-il des restrictions particulières pour les pilotes près d'îles comme Ouessant ou Belle-Île ?
Oui, pour des îles comme Ouessant et Belle-Île, il y a des zones spéciales qui sont interdites d’accès quand les ZRT sont actives. C’est une restriction qui va du sol jusqu’à 2500 pieds d’altitude.
Comment savoir si une ZRT est active ?
Les informations sur l’activation de ces zones sont communiquées par NOTAM, qui est un message diffusé aux pilotes. Elles peuvent être activées jusqu’à deux jours avant l’événement. Il faut donc bien vérifier les avis de sécurité aérienne avant de voler.