Drone Royaume-Uni avec Angel Altitude : Sécurité accrue

Ces derniers temps, on entend parler de drones partout, et pour cause. Ils changent la façon dont on fait beaucoup de choses, y compris voler dans notre espace aérien. Au Royaume-Uni, une collaboration entre DJI, le grand nom des drones, et Altitude Angel, une entreprise spécialisée dans la gestion de l’espace aérien, est en train de rendre les choses plus sûres et plus simples pour tout le monde. Ils ont mis en place un système appelé GEO 2.0, qui est une grosse mise à jour par rapport à ce qui existait avant. Ce nouveau système aide à mieux définir les zones où les drones peuvent voler et celles où ils ne le peuvent pas, surtout près des aéroports. C’est une bonne nouvelle pour les pilotes de drones, qu’ils soient pro ou juste pour le plaisir, car cela clarifie les règles et ouvre potentiellement plus d’options de vol.

• DJI et Altitude Angel unissent leurs forces pour améliorer la sécurité des drones au Royaume-Uni avec le système GEO 2.0.
• GEO 2.0 utilise des formes précises pour délimiter les zones de sécurité autour des aéroports, remplaçant les anciens cercles.
• Le nouveau système est plus souple dans les zones à faible risque, facilitant les vols autorisés près des pistes.
• Les restrictions temporaires (ZRT) sont maintenant intégrées, basées sur les données d’Eurocontrol, pour une meilleure gestion des événements.
• Cette collaboration vise à aligner les opérations de drones sur les normes internationales tout en simplifiant l’accès à l’espace aérien pour les utilisateurs responsables.

La collaboration entre DJI, le géant de la technologie des drones, et Altitude Angel, un acteur majeur de la gestion de l’espace aérien, marque une étape importante pour l’utilisation sécurisée des drones au Royaume-Uni. Ce partenariat stratégique vise à intégrer des données d’espace aérien précises et à jour directement dans les systèmes de drones DJI, simplifiant ainsi la manière dont les pilotes planifient et exécutent leurs vols.

DJI a choisi Altitude Angel comme nouveau fournisseur de données pour son système GEO 2.0 en Europe. Cela signifie qu’Altitude Angel fournit désormais les informations nécessaires sur les zones réglementées, les aéroports et les autres sites sensibles pour 32 pays européens. Ce changement remplace l’ancien fournisseur de DJI, Airmap, et témoigne de la confiance accordée à la technologie d’Altitude Angel pour fournir des données fiables et en temps réel. Ce partenariat est une excellente nouvelle pour les pilotes de drones qui cherchent à voler en toute conformité et sécurité.

Le système GEO 2.0 de DJI représente une amélioration significative par rapport aux versions précédentes. Il utilise désormais des polygones pour définir les zones de sécurité autour des aéroports, offrant une précision bien plus grande que les anciens cercles. Cette nouvelle approche permet de mieux refléter les risques réels et offre plus de flexibilité dans les zones à faible risque, autorisant par exemple des vols parallèles aux pistes pour les pilotes disposant des autorisations nécessaires. C’est un pas de géant vers une gestion plus intelligente de l’espace aérien pour les drones. Vous pouvez trouver plus d’informations sur le système GEO 2.0 sur dji.com/flysafe.

L’intégration des données d’Altitude Angel dans les drones DJI a un impact direct sur la sécurité aérienne au Royaume-Uni. En fournissant des informations précises sur les zones où les vols de drones sont restreints ou nécessitent une autorisation, le système aide à prévenir les vols non autorisés dans des zones sensibles comme les aéroports ou les sites d’événements spéciaux. Cela contribue à réduire le risque de conflits entre drones et aéronefs traditionnels, et assure une meilleure coexistence dans l’espace aérien. L’innovation d’Altitude Angel, comme leur technologie ARROW, permet aux drones de fonctionner en toute sécurité dans l’espace aérien partagé sans perturber les autres utilisateurs [aa76].

Le système GEO 2.0 de DJI, développé en partenariat avec Altitude Angel, représente une avancée majeure pour la sécurité des vols de drones au Royaume-Uni. Il affine la définition des zones de sécurité, notamment autour des aéroports, en utilisant des polygones plutôt que de simples cercles. Cela permet une délimitation plus précise des sites sensibles et offre une flexibilité accrue dans les zones à faible risque, autorisant par exemple des vols parallèles aux pistes pour les opérateurs disposant des autorisations nécessaires.

Le système GEO 2.0 va plus loin en cartographiant l’espace aérien avec une granularité sans précédent. Il crée des zones de sécurité tridimensionnelles qui englobent non seulement les pistes d’atterrissage et de décollage, mais aussi leurs trajectoires d’approche et de départ. Cette approche basée sur le risque, alignée sur les normes de l’OACI, assure une meilleure protection des zones à haute sensibilité.

Une autre amélioration notable concerne la gestion des Zones de Restrictions Temporaires (ZRT). Ces zones, mises en place lors d’événements spéciaux ou de catastrophes, sont désormais intégrées au système GEO 2.0 grâce aux données fournies par Eurocontrol. Cela signifie que les opérateurs de drones sont informés en temps réel des restrictions temporaires, ce qui est vital pour éviter toute infraction et garantir la sécurité des opérations aériennes, comme lors d’exercices militaires où des restrictions temporaires peuvent être mises en place consulter les cartes aéronautiques.

DJI a mis en place une classification des aéroports basée sur des critères objectifs tels que le volume de trafic, le type d’opérations et la sensibilité générale de l’espace aérien environnant. Cette classification permet d’appliquer des niveaux de restriction de vol adaptés à chaque situation. Par exemple, les zones autour des aéroports les plus fréquentés seront soumises à des règles plus strictes que celles des petits aérodromes. Cette approche réfléchie aide les pilotes à prendre des décisions éclairées avant chaque vol.

Avec les améliorations apportées par DJI et Altitude Angel, les pilotes de drones peuvent s’attendre à une expérience de vol plus sûre et plus accessible. Le système GEO 2.0, par exemple, affine la manière dont les zones de sécurité sont définies, ce qui est une bonne nouvelle pour ceux qui cherchent à opérer dans des zones qui étaient auparavant trop restrictives. Cela signifie que vous pourriez avoir accès à plus d’espace aérien pour vos missions. Il est toujours bon de vérifier les dernières mises à jour sur des plateformes comme la Drone Safety Map pour planifier vos vols. C’est un peu comme avoir une carte plus précise pour éviter les embouteillages aériens.

Le système GEO 2.0 ne se contente pas de renforcer la sécurité autour des sites sensibles ; il apporte aussi une flexibilité bienvenue. Pour les zones considérées comme présentant un risque plus faible, les opérateurs pourraient trouver des processus d’autorisation simplifiés. Cela pourrait se traduire par moins de paperasse et des délais plus courts pour obtenir les permissions nécessaires, permettant ainsi de se concentrer davantage sur la mission elle-même plutôt que sur les démarches administratives. C’est une évolution positive pour rendre les opérations de drones plus pratiques.

Pour les situations où un vol dans une zone réglementée est absolument nécessaire, DJI et Altitude Angel travaillent à simplifier les démarches. Si vous avez besoin d’une autorisation spéciale, par exemple pour une mission professionnelle dans une zone sensible, le processus de demande peut être accéléré. DJI a déjà montré sa capacité à traiter certaines demandes de déblocage en 30 minutes, ce qui est un gain de temps considérable. L’objectif est de rendre ces autorisations plus accessibles pour les professionnels qui ont des raisons légitimes et les permis requis, tout en maintenant un haut niveau de sécurité.

DJI et Altitude Angel ne se reposent pas sur leurs lauriers, c’est le moins qu’on puisse dire. Ils continuent de pousser les limites de ce qui est possible avec les drones, surtout en matière de sécurité.

Un exemple concret de cette collaboration, c’est le projet Opération Zenith qui s’est déroulé à l’aéroport de Manchester. C’était un test grandeur nature pour voir comment leur plateforme GuardianUTM O/S gérait les vols de drones dans un espace aérien contrôlé. L’idée était de simuler des opérations complexes pour s’assurer que tout se passe bien, même quand il y a beaucoup d’activité aérienne. C’est le genre de projet qui montre qu’ils prennent vraiment au sérieux la sécurité.

Ce qui est intéressant, c’est qu’ils partagent une vision commune pour l’avenir. Ils veulent que les drones puissent faire des choses plus avancées, comme voler hors de vue (BVLOS) ou de manière totalement autonome. Mais ils veulent aussi que cela se fasse sans compliquer la vie des pilotes qui font déjà des vols sans problème. C’est un équilibre délicat, mais ils semblent y travailler sérieusement. Comme le dit Christian Struwe de DJI, il faut que la gestion de l’espace aérien européen s’adapte à ces nouvelles utilisations, sans ajouter de contraintes inutiles.

Pour que tout cela fonctionne, il faut des données précises et à jour sur l’espace aérien. C’est là qu’Altitude Angel intervient avec sa plateforme. Ils fournissent les informations nécessaires sur les zones de sécurité, les restrictions temporaires, et tout ce qui peut affecter un vol de drone. Richard Parker d’Altitude Angel souligne d’ailleurs l’importance de ces données pour permettre aux drones de voler en toute sécurité et d’accéder à plus d’espace aérien. C’est un peu comme avoir une carte routière super détaillée pour les drones, mais pour le ciel.

Le cadre réglementaire pour les drones au Royaume-Uni, notamment avec l’intégration des technologies d’Altitude Angel, s’aligne de plus en plus sur les standards établis par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI). Cette harmonisation est une étape logique pour assurer une sécurité aérienne cohérente à l’échelle mondiale. L’OACI définit des principes directeurs pour la gestion de l’espace aérien, y compris pour les aéronefs sans pilote, ce qui aide à créer une base commune pour les réglementations nationales. Cette approche globale facilite l’intégration des drones dans l’espace aérien existant tout en gérant les risques associés. Il est important de noter que la CAA est activement en train de réglementer l’intelligence artificielle dans l’aérospatiale, ce qui inclut potentiellement les systèmes de gestion de drones.

L’évolution constante des réglementations et des technologies de drones bénéficie grandement des retours d’expérience des utilisateurs sur le terrain. Les opérateurs de drones, qu’ils soient professionnels ou amateurs, sont en première ligne pour identifier les points forts et les points faibles des systèmes existants. Le système GEO 2.0 de DJI, par exemple, a été développé en tenant compte des retours pour améliorer la précision des zones de sécurité et la flexibilité dans les zones à faible risque. Ces informations pratiques aident les développeurs et les régulateurs à affiner les règles et les outils pour mieux répondre aux besoins opérationnels tout en maintenant un haut niveau de sécurité. Il est donc essentiel que les utilisateurs continuent de partager leurs expériences.

Malgré les avancées technologiques et l’évolution du cadre réglementaire, la responsabilité finale de l’opération d’un drone incombe toujours à l’opérateur. Les systèmes comme celui développé par Altitude Angel fournissent des données et des outils pour aider à voler en toute sécurité, mais ils ne remplacent pas le jugement et la diligence de l’utilisateur. Il est de la responsabilité de chaque pilote de drone de se familiariser avec les réglementations locales, de comprendre les zones de restriction, et de s’assurer que chaque vol est effectué en toute sécurité et conformément à la loi. Cela inclut la vérification des mises à jour logicielles et la compréhension des limitations du système GEO. Voler en toute sécurité est une priorité partagée par DJI et Altitude Angel, mais cela commence par un opérateur bien informé et responsable.

Voilà, on a fait le tour de la question. Utiliser un drone, c’est super, mais il faut quand même faire attention où on met les pieds, ou plutôt où on fait voler sa machine. Le partenariat entre DJI et Altitude Angel, c’est une bonne nouvelle pour tout le monde. Ça rend les choses plus claires et plus sûres, surtout près des aéroports. N’oubliez pas de mettre à jour vos applications et vos drones, c’est pas compliqué et ça peut éviter bien des tracas. En gros, avec les bons outils et un peu de bon sens, on peut profiter de son drone sans se prendre la tête. Le ciel est grand, mais il y a des règles à respecter pour que tout se passe bien pour les pilotes comme pour les autres.

C’est un système qui aide les drones à savoir où ils peuvent voler en toute sécurité. Il crée des zones virtuelles autour des endroits importants comme les aéroports pour éviter les accidents.

DJI, une grande marque de drones, s’est associée à Altitude Angel, une entreprise spécialisée dans la gestion de l’espace aérien pour drones. Ils travaillent ensemble pour rendre le vol en drone plus sûr et plus facile.

Ce nouveau système est plus précis. Il utilise des formes plus complexes pour définir les zones interdites, pas seulement des cercles. Cela permet aussi de voler plus facilement dans des zones moins risquées si vous avez les bonnes autorisations.

Oui, si vous avez une bonne raison et les autorisations nécessaires, vous pouvez demander à DJI de débloquer certaines zones pour voler. Pour les endroits très sensibles, cela peut prendre un peu plus de temps.

Ce système aide à éviter les vols près des aéroports, des centrales nucléaires ou lors de grands événements. Il utilise des données précises pour définir ces zones et s’assure que les drones ne s’en approchent pas trop sans permission.

Il faut mettre à jour l’application de votre drone DJI et le logiciel de votre drone. C’est comme mettre à jour votre téléphone pour avoir les dernières fonctionnalités et améliorations de sécurité.