Bordeaux Mérignac : Modification des LF-R 598, LF-R 247 A et B

Salut à tous les passionnés d’aviation ! Aujourd’hui, on va parler d’un changement important qui va concerner ceux qui volent près de Bordeaux Mérignac. Il s’agit de la mise en place de nouvelles zones temporaires, les fameuses ZRT. Ça touche directement plusieurs routes aériennes, les LF-R 598, LF-R 247 A et B. On va regarder ensemble ce que ça implique pour nous, pilotes.

• La création de quatre Zones Réglementées Temporaires (ZRT) dans la CTR Bordeaux Mérignac est effective.
• Ces nouvelles ZRT entraînent une modification des routes aériennes LF-R 598, LF-R 247 A et B.
• L’objectif est de gérer l’espace aérien pour des événements spécifiques ou des activités particulières.
• Les pilotes doivent être attentifs aux NOTAMs et aux AIP Supplements pour connaître les détails et les périodes d’activation des ZRT.
• Il est essentiel de bien comprendre les implications de ces ZRT sur les plans de vol et les procédures de navigation autour de Bordeaux Mérignac.

De nouvelles Zones Réglementées Temporaires (ZRT) font leur apparition dans le ciel de Bordeaux Mérignac. Ces zones, dont la mise en place vise à encadrer certaines activités aériennes spécifiques, auront un impact direct sur les routes aériennes LF-R 598 et LF-R 247 A et B. Il est donc essentiel pour tous les usagers de l’espace aérien de bien comprendre les raisons de cette modification et les implications concrètes pour leurs vols.

L’aviation moderne, qu’elle soit civile ou militaire, est en constante évolution. Pour répondre à des besoins de sécurité accrus ou pour permettre le déroulement d’opérations particulières, la création de zones réglementées temporaires est devenue une pratique courante. Bordeaux Mérignac, en tant que plateforme aéronautique importante, n’échappe pas à cette règle. L’introduction de ces nouvelles ZRT s’inscrit dans une démarche de gestion de l’espace aérien plus fine et adaptée aux activités qui s’y déroulent. Ces zones sont généralement activées par NOTAM, avec un préavis suffisant pour informer les pilotes. Par exemple, des opérations impliquant des drones hors de vue peuvent nécessiter la création de telles zones, comme cela a été vu dans d’autres régions françaises.

Les routes aériennes LF-R 598 et LF-R 247 A et B sont des corridors de circulation bien établis. La création de ZRT peut potentiellement modifier ou restreindre l’accès à ces routes pendant les périodes d’activation. Il est donc primordial de consulter les informations aéronautiques à jour, notamment les NOTAM et les AIP Supplements, pour connaître les limites précises et les conditions d’utilisation de ces zones. Une mauvaise compréhension de ces nouvelles réglementations pourrait entraîner des déroutations ou des retards. Il est toujours bon de vérifier les informations sur le site du Service de l’Information Aéronautique.

Les objectifs derrière la création de ces ZRT sont multiples. Ils peuvent inclure :

• Sécurité des vols : Protéger les aéronefs évoluant dans la zone contre les risques potentiels liés à une activité spécifique.
• Protection d’activités particulières : Permettre le déroulement d’exercices militaires, de démonstrations aériennes, de vols de drones, ou d’autres opérations nécessitant un espace aérien sécurisé et contrôlé.
• Gestion du trafic : Optimiser la circulation aérienne en évitant les conflits entre différents types d’usagers de l’espace aérien.
• Mesures de sûreté : Mettre en place des périmètres de sécurité lors d’événements spéciaux ou pour des raisons de sécurité nationale.

La mise en place de ces zones temporaires est une mesure dynamique qui s’adapte aux besoins opérationnels. Il est de la responsabilité de chaque pilote de se tenir informé des modifications de l’espace aérien avant chaque vol.

Ces nouvelles zones réglementées temporaires (ZRT) introduites à Bordeaux Mérignac vont modifier la façon dont nous opérons. Il est donc important de bien comprendre leurs caractéristiques.

Les limites latérales de ces ZRT sont définies avec précision pour éviter toute confusion. Elles sont généralement spécifiées par des coordonnées géographiques, formant des polygones dans l’espace aérien. Il est essentiel de consulter les documents officiels, comme les AIP Supplements, pour connaître les contours exacts de chaque zone. Par exemple, une ZRT peut être définie par une série de points allant de la surface jusqu’à une altitude spécifiée.

Les limites verticales sont tout aussi importantes. Elles peuvent varier considérablement d’une ZRT à l’autre. Certaines zones peuvent s’étendre de la surface (SFC) jusqu’à une altitude spécifique, comme 330 pieds au-dessus du sol (AGL) ou un niveau de vol (FL) donné. D’autres peuvent être plus étendues, couvrant une colonne d’air plus importante. Il faut donc toujours vérifier la plage d’altitude concernée pour chaque activation.

Ces zones ne sont pas actives en permanence. Leur activation est généralement annoncée par NOTAM et peut être liée à des événements spécifiques ou des exercices. Les périodes d’activation peuvent être courtes, quelques heures seulement, ou s’étendre sur plusieurs jours. Il est crucial de se tenir informé des dates et heures précises de début et de fin d’activité de chaque ZRT pour planifier vos vols en conséquence. Parfois, une activation peut être déclenchée par un NOTAM précurseur, comme le mentionne le AIP SUP 062/25.

La compréhension précise des limites et des périodes d’activation de ces ZRT est primordiale pour la sécurité et la fluidité du trafic aérien dans la région de Bordeaux Mérignac.

L’instauration de ces nouvelles Zones Réglementées Temporaires (ZRT) à Bordeaux Mérignac va forcément impacter la manière dont les vols sont menés dans la région. En gros, il y aura des zones où il ne sera tout simplement pas possible de voler sans autorisation spéciale. Ces restrictions s’appliquent à tous les types d’aéronefs, sauf exceptions bien précises comme les missions d’État (défense, police, sécurité civile, etc.). C’est un peu comme si on ajoutait des zones interdites temporaires sur la carte, et il faut vraiment faire attention à ne pas s’y aventurer par erreur.

Pour les pilotes, cela signifie qu’il faudra adapter ses plans de vol. Il ne s’agit pas juste d’éviter une zone, mais de comprendre comment la contourner légalement. Cela peut impliquer de changer d’altitude, de modifier sa trajectoire, ou même de demander une dérogation bien à l’avance, souvent 30 jours avant, auprès de l’autorité qui gère la zone. C’est une démarche qui demande de l’organisation.

Voici quelques points clés à retenir pour gérer ces nouvelles contraintes :

• Consulter les NOTAMs et AIP Supplements : C’est la source d’information la plus à jour pour connaître les limites exactes et les périodes d’activation des ZRT.
• Adapter son plan de vol : Prévoir des routes alternatives ou des altitudes de croisière qui respectent les zones réglementées.
• Contacter les autorités compétentes : En cas de doute ou pour demander une dérogation, il est indispensable de connaître les bons interlocuteurs.
• Vérifier les conditions d’entrée : Chaque ZRT peut avoir des règles spécifiques concernant les aéronefs autorisés ou les conditions de passage.

Il est vraiment important de bien se renseigner avant chaque vol. Ignorer ces zones peut entraîner des sanctions, mais surtout mettre en péril la sécurité des opérations aériennes, notamment si ces ZRT sont mises en place pour des raisons de sécurité spécifiques.

La communication est la clé dans ce genre de situation. Les informations sur ces ZRT seront diffusées via les NOTAMs et les AIP Supplements, comme c’est souvent le cas pour les modifications temporaires de l’espace aérien. Il est donc du devoir de chaque pilote de se tenir informé des publications aéronautiques. Si vous êtes gêné par le bruit des avions, vous pouvez signaler vos préoccupations et déposer une plainte auprès de l’aéroport concernant les trajectoires de vol en utilisant les canaux appropriés.

Voici un tableau récapitulatif des informations à rechercher :

Pour bien comprendre ces nouvelles Zones Réglementées Temporaires (ZRT) et leur impact sur les routes aériennes, il faut regarder du côté des règles qui encadrent tout ça. C’est un peu comme le code de la route, mais pour le ciel.

La création de ZRT s’inscrit dans un cadre réglementaire bien précis, souvent déclenché par des besoins de sécurité ou des activités spécifiques. Ces zones temporaires sont établies conformément aux réglementations nationales et européennes en matière de sécurité aérienne. Par exemple, la mise en place de ZRT peut être nécessaire pour des activités militaires, des exercices de sécurité civile, ou comme dans notre cas à Bordeaux Mérignac, pour gérer des vols de drones qui sortent du champ de vision. Le but est toujours de prévenir les risques et de garantir la sécurité de tous les usagers de l’espace aérien.

Comment on est informé de tout ça ? Principalement grâce aux NOTAMs (Notice to Airmen) et aux AIP Supplements. Les NOTAMs sont des messages diffusés en temps réel qui signalent des changements temporaires ou des dangers dans l’espace aérien. Ils sont essentiels pour les pilotes car ils donnent les informations les plus à jour. Les AIP Supplements, eux, fournissent des détails plus longs sur des sujets spécifiques, comme la création de ces nouvelles ZRT. Ils sont publiés par le Service de l’Information Aéronautique (SIA) et sont la référence pour les procédures et les zones réglementées.

Voici un exemple de la manière dont ces informations sont communiquées :

• NOTAMs : Diffusion d’alertes sur les changements temporaires.
• AIP Supplements : Publication de détails sur les nouvelles zones et leurs conditions.
• SIA Website : Accès aux documents officiels et aux mises à jour.

Il est vraiment important pour tout pilote de consulter ces documents avant chaque vol. Ignorer une ZRT peut avoir des conséquences sérieuses, allant de la simple demande de déroutement à des sanctions plus lourdes.

La mise en place de ces ZRT n’est pas une décision prise à la légère. Elle implique une coordination étroite entre les différents acteurs de l’aviation. Les autorités comme la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) jouent un rôle clé dans l’approbation et la gestion de ces zones. Les gestionnaires d’aérodromes, les centres de contrôle du trafic aérien et les organismes de renseignement aéronautique travaillent ensemble pour s’assurer que toutes les informations sont correctement diffusées et que les opérations aériennes se déroulent en toute sécurité. Cette collaboration est la clé pour une gestion efficace de l’espace aérien, surtout lorsqu’il s’agit de zones temporaires qui peuvent modifier les routes habituelles.

L’instauration de ces nouvelles Zones Réglementées Temporaires (ZRT) à Bordeaux Mérignac va forcément avoir des répercussions sur la circulation habituelle au sein de la CTR. Il faut s’attendre à des ajustements dans les procédures, surtout pour les vols qui traversent ou approchent de ces zones nouvellement définies.

Les pilotes devront être particulièrement attentifs aux nouvelles limites et aux périodes d’activation des ZRT. Cela pourrait signifier des changements dans les routes à suivre, des demandes de déroutement ou des instructions spécifiques de la part du contrôle aérien pour éviter les zones actives. Il est probable que des corridors de passage soient établis ou que certaines approches soient temporairement modifiées pour garantir la sécurité.

Pour les vols VFR, la visibilité des nouvelles zones et le respect des altitudes seront primordiaux. Les vols IFR, quant à eux, verront leurs plans de vol potentiellement ajustés pour tenir compte des ZRT, ce qui pourrait affecter les altitudes de croisière ou les trajectoires d’approche et de départ. Il est donc essentiel de consulter les NOTAMs et les AIP Supplements à jour avant chaque vol.

La mise en place de ces ZRT demande une coordination accrue entre les différents acteurs du contrôle aérien. L’objectif est de minimiser les perturbations tout en assurant la sécurité des opérations aériennes dans et autour de la CTR. Cela pourrait se traduire par une augmentation de la charge de travail pour les contrôleurs et nécessiter une communication encore plus claire avec les pilotes.

L’adaptation aux nouvelles réglementations aériennes est une constante dans notre métier. Ces ZRT, bien que pouvant sembler contraignantes, visent à encadrer des activités spécifiques pour la sécurité de tous.

Voilà, c’est dit. Ces changements sur les LF-R 598, LF-R 247 A et B à Bordeaux Mérignac, ça peut sembler un peu technique au premier abord. Mais pour ceux qui volent dans le coin, c’est bon à savoir. Ça touche à des zones de restriction et à des procédures, donc autant être au courant. On espère que ces infos vous seront utiles pour planifier vos vols. Restez prudents et bons vols à tous !

Les ZRT sont des zones spéciales créées pour une période limitée. Elles servent à protéger des activités particulières ou à assurer la sécurité lors d’événements. Pensez-y comme à des zones où il faut faire plus attention.

Ces nouvelles zones affectent les routes aériennes appelées LF-R 598 , LF-R 247 A et B. Cela veut dire que les avions devront peut-être suivre des chemins différents ou faire attention à des règles spécifiques quand ils volent près de Bordeaux Mérignac.

Le but est de rendre l’espace aérien plus sûr. Par exemple, s’il y a une fête aérienne ou une activité spéciale, créer une ZRT permet de mieux contrôler qui vole où et quand, pour éviter les accidents.

Les limites exactes, comme les frontières au sol et jusqu’à quelle hauteur on peut voler, sont précisées dans des documents officiels. Ces informations sont très importantes pour les pilotes.

Quand une ZRT est active, il y a des règles à suivre. Parfois, il est interdit de voler dedans, ou alors il faut demander une autorisation spéciale. Il faut toujours vérifier les informations avant de voler.

Les pilotes doivent consulter les ‘NOTAMs’ et les suppléments AIP. Ce sont des messages qui donnent des informations importantes et à jour sur l’espace aérien. C’est comme le journal de bord de l’aviation.

Source : SUP AIR 148/2025